2.10.2014

DE-CLUTTERING //

 

At some point I felt overwhelmed by the quantity of my surroundings. I could feel the weight of having too much on my shoulders. A wardrobe too full, an email-box/desktop saturating, an apartment too crowded by belongings, too many goals to accomplish and too many people to give pieces of me as well… 
I traveled quite a bit, and moved many times over the past few years and I must admit it has been exhausting. On my last big trip - 6 months in south america - I left with a 50L backpack and that was it. And that was enough. Way enough. 
So coming back, I decided to do something about it. Before I go on with how I started de-cluttering any field of my life, I'll tell you what this experience has taught me so far

-allow time to process things and relationships
-take it one step at a time / box by box / shelter by shelter / room by room
-the ability to let go comes most of the time on its own - unconsciously. No need to force it, no need to fear it.
-allow place for mistakes, nothing's unchangeable

As "time" seems to be the key here, I'll end up with saying that this is an experience, a journey, as I said in the first post. Which means you should not rush it. Minimalism is a way of life, not a trend, enjoy it to its essence. 
Here are a few blogs that helped me getting organized: deadfleurette and especially this post, :mnmlist,  unechicfille and lately cheandfidel


I realize this was more of a background than a cut in the practical subject but there's so much to say, I need time to process the whole thing - to divide and categorize each actions in order to tell them in a proper way.

Ps: I know I'll often refer to objects, people, habits or even situations with same kind of angle - notice that I am not cold-hearted - but I am a loner, and I appreciate the various distance I can have and enjoy to thus objects, people, habits or even situations to be the one that makes me happy or not unhappy at least. 

By B.


pour la version française cliquer sur more.

A un moment, j'ai compris que j'étouffais sous la quantité de choses qui m'entouraient. Je pouvais sentir leur poids, trop lourd pour mes épaules. Un dressing qui déborde, une boîte mail / un bureau saturé, un appartement qui rapetisse sous les objets, trop d'objectifs que je souhaiterais atteindre et trop de personnes à qui donner inlassablement... 
J'ai pas mal voyagé et beaucoup déménagé ces dernières années et je dois admettre que c'est épuisant. Lors de mon dernier voyage - 6 mois en Amérique latine - je suis partie avec un sac à dos de 50L et c'était tout. Et c'était assez. Bien assez. 
Alors à mon retour, j'ai décidé d'y remédier. Avant de commencer à vous parler de comment j'ai épuré tout les champs possibles de ma vie, je vais vous dire ce que cette expérience m'a appris jusque là

-se donner du temps pour évaluer/apprécier les choses et les relations
-y aller un pas à la fois / boîte après boîte / étagère après étagère / pièce par pièce
-l'habilité à se passer des choses, à les laisser s'en aller vient principalement de soi - inconsciemment. Il n'est ni besoin de la forcer, ni besoin d'en avoir peur. 
-s'accorder des erreurs, rien n'est immuable

Puisque le maître mot semble être le temps, je vais m'arrêter là en vous disant que c'est une expérience, un processus, comme je le dis dans le premier post. Il n'est pas question de se précipiter. Le minimalisme est une façon de vivre, pas une mode, il faut en profiter jusque dans son essence. 
Voici quelques blogs qui m'ont aidé à m'organiser: deadfleurette et surtout ce post:mnmlist,  unechicfille et dernièrement cheandfidel



Je réalise qu'il s'agit plus d'un post posant les bases ou l'origine de la démarche qu'un article qui rentrerait dans le côté hyper pratique du sujet, mais il y a tellement à dire. J'ai besoin de temps pour mettre tout ça en place - diviser, catégoriser chaque action afin de les énoncer de façon appropriée. 


Ps: Je sais que je vais souvent me référer aux objets, aux gens, aux habitudes ou encore aux situations d'un même point de vue - non pas que j'ai un coeur de pierre - mais je suis une solitaire, et j'apprécie et me "complets" dans les distances variables que j'ai aux sus-cités objets, gens, habitudes ou encore situations; de manière à ce qu'elles me rendent heureuse ou du moins pas malheureuse. 


By B.